... mais on s'est finalement lâché. Un petit concert seulement en octobre, mais trois en 6 jours entre le 5 et le 12 novembre. Et... aucun regret à ce jour.
Ce qui nous change de notre entrée en matière l'année passée, où mon premier choix et celui de Ben nous avaient énormément déçus.
En octobre, petit concert pop-rock de frenchies à la sauce anglaise comme il le font tous : Meltones, bien sympas, enthousiastes, pleins d'avenir. Ça sonnait comme Coldplay ou The Killers. Donc, belle grosse ambiance dans ce petit écrin qu'est le Labo Sonore.
Puis ce fut du Flamenco avec la famille Pradal. Vicente Pradal, qui s'ets fait une spécialité de mettre en musique des textes des grands auteurs espagnols du début du 20è siècle, assure le spectacle avec sa fille qui l'accompagne au chant, son fils au piano,et leur violoncelliste. Je ne connais rien à cette musique sinon ce que je savais déjà du bonhomme, et là, c'est un vrai spectacle pour les novices. Il explique énormément les styles qu'il aborde, les textes qu'il choisit, on passe de chants très rocailleux à des lamentos, puis à des danses entrainantes. Magique, et tant mieux, puisque j'y emmenais Frank et que j'avais peur qu'on s'y ennuyât trop rapidement.
Deux jours après, la soirée Ta Mère en Short, sur invitation, une jauge de 120 copains et une scène rock super sympa, avec Run Ronnie Run, du Mans, et D-Day, de Dinard.
Puis avec Benoit, trois jours après, soirée Rock du festival Be-Bop, avec Run Ronnie Run (ha tiens, encore, mais set et ambiance vachement différents, beaucoup plus attentiste), puis Vismets qui se sont défoncé pour envoyer du pâté, et Hushpuppies, dont on est ressorti sourds et vidés de toute l'eau de notre corps. Mais que ce fut dur de faire bouger ce public. Les gars se sont donnés à fond. Et à priori, les groupes étaient ravis.