Navigation

Les thèmes

Alela Diane Alice Russel Aloe Blacc Arno Asa Bee gees Ben l'oncle soul Bobby Womack Carosel Cassius Cher Cheval blanc Claude Nougaro Colette Renard Concrete knives Dallas Frasca Debout sur le zinc Deep Purple Dominique A Donna Summer Dépêche mode Edith Fambuena Eels Eric Charden Fischer-Diskau Fleurent-Didier Florent Marchet Franz Ferdinand General Elektriks Gil Scott-Heron Gnarls Barkley Gonzales Grease Gérard Manset Holden Housse de Racket Hubert Félix Thiéfaine Hushpuppies Inspector Cluzo Iswhat?! Jacques brel Janelle Monae Jean Louis Murat Joe Jackson Kurt Elling La féline Led Zeppelin Les têtes raides Lumerians Mayer Hawthorne Meltones Menahan Street Band Motorama Nancy Sinatra Noir Desir Nyxtones Puggy Quadron Ray Lamontagne Remy Zero Robin Gibb Scala Seal Sharon & Tracy Skip the Use Sophie Hunger TKTh Tasmin Archer The Cure The Killers Theodor Adorno Thomas Fersen Tokyo Sex Destruction Tori Amos Toto Two door cinéma club Téléphone Vicente Pradal Vismets Wailin'Jennys Yann Tiersen Yes Youn Sun Nah Youth lagoon Yves Simon aaron abbey Road bashung cascadeur kaolin les cowboys fringants les fatals picards new order nino ferrer pierre perret tahiti 80 yeah yeah yeahs
 

Articles récents


Vous êtes ici : Accueil > Histoires >> Pam's myth

Pam's myth 07-03-2013

Pam Grier traversant un aéroport sur un tapis roulant, sur la soul groovy de Bobby Woomack, son port fier dans sa tenue d'hôtesse et ce sourire ni insolent ni sur de lui, ni satisfait... LA scène introductive de Jackie Brown pose, pour moi, un mythe.


Pour tout dire, je viens de lire un petit bouquin sur Tarantino à la BU. Et le type qui fait l'article sur Jackie Brown s'en est tenu à analyser l'intro. Je ne l'ai pas attendu pour savoir que cette intro était importante, mais lui va bien sûr beaucoup plus loin.
Pour moi, les raisons sont les suivantes :
1/ Comme je n'ai rien à foutre du cinéma, j'ai découvert un jour qu'une chaîne (merci la TNT quand même au passage parce que je pense qu'on peut attendre longtemps avant de voir Jackie Brown, Réservoir Dogs ou Pulp Fiction à 21h sur les grandes chaînes généralistes) passait ce film. Depuis le temps qu'on me disait « Tarantino, Tarantino... gnagnagna...) je me suis dit  » pourquoi pas", voyons voir (ce que je me suis dit quelque temps après pour quasiment le même effet avec The Big Lebowski). Et là, dès les premières secondes, le tapis roulant, la musique, Pam Grier, le décalage, le mystère, et toute l'histoire, au final, quand on revoit le film une seconde fois, résumée en 3'30. C'est parfait.
2/ J'ai découvert Tarantino, et surtout la narration de Tarantino. Je me suis jeté sur Pulp Fiction (dont je ne suis pas encore remis), et la construction du récit, les allers retours dans l'histoire (on dirait de « l'image-parlée » , vous savez, comme quant on essaie de raconter un truc trop vite et qu'on passe son temps à revenir en arrière parce qu'on a oublié un détail super important. J'adore ! ! ! !)
3/ La musique est un personnage, et ici, c’est elle qui m'a tenu, parce qu'elle colore les personnages comme les situations. Elle n'est pas un fond sonore, elle est un choix RnR à chaque scène. Elle ajoute sa dimension réflexive, sa violence, son émotion (Uma Thurman qui danse sur You'll be a Woman Soon" dans Pulp Fiction ! Fouyouyou !Avec Travolta dans les toitoi en train de se faire la morale...)

Voila voila.


PAM
UMA

 

Commentaires :

34283 (azvxbt_at_uwjglh_dot_com) le 30/06/2014 08:46

GxwcgJ uyfdnvgvvvdb, [url=http://wjsmrkxkyzdp.com/]wjsmrkxkyzdp[/url], [link=http://ekhlzxstbnsz.com/]ekhlzxstbnsz[/link], http://mwhmpoxgdopi.com/

828100 (tzzjgn_at_cdjeol_dot_com) le 16/03/2014 11:48

p1HXkk gkwptnlnwbky, [url=http://rpmfztbxgckb.com/]rpmfztbxgckb[/url], [link=http://odrlqqrakwvi.com/]odrlqqrakwvi[/link], http://gnnwdalvkyys.com/

Commenter...

Merci de respecter les règles élémentaires de la courtoisie et de la communication. Tout message importun sera supprimé sans péavis par l'administrateur...






Article du 07 03 2013, publié par Nicolas Rivet (Dernières modifications il y a 12 ans)
Mots-clés liés à cet article : Bobby Womack