Il y a Pères, de Dominique A, pour mon père. Il y a Les Yeux de ma Mère, d'Arno, pour ma mère. Il y a tant de chansons, toutes, mais surtout Toujours Ensemble, de Manset, pour Elle. Pour les autres, il y aura autre chose. Pour Adèle, il y a Ma Rêveuse, de Thomas Fersen.
S'il ne devait y en avoir qu'une, ce serait donc celle-là. Adèle, c’est ma rêveuse. C'est cette demande permanente d'amour, cette impossibilité de jamais parfaitement la comprendre, l'imprévisibilité, l'émotion, l'imagination qui avance, toujours.
Adèle, c'est une exigence de chaque instant, jamais de facilité, de l'énergie à donner et à recevoir, toujours, des promesses qu'il ne faut pas trahir, une parole donnée, un propos juste, une droiture étouffante.
Ma rêveuse.
Superbe !